La compagnie aérienne italienne, qui n'a pas souvent dégagé de profits pendant ses 70 ans d'existence, a été placée sous tutelle l'année dernière après le rejet par les salariés d'une proposition visant à comprimer les effectifs et les salaires.

Lufthansa, easyJet et le fonds de capital-investissement américain Cerberus figurent parmi les sociétés ayant manifesté un intérêt pour Alitalia, mais cela reste en suspens dans l'attente du résultat des élections législatives, a dit Calenda.

(Elisa AnzolinClaude Chendjou pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)

Valeurs citées dans l'article : Lufthansa Group, easyJet