Fidelity souligne un mois d'avril favorable dans un premier temps à l'Investment Grade traditionnellement considéré comme refuge dans les périodes de stress. Dans un second temps, la dissipation du risque politique a été favorable au High Yield. Face à ce constat, Fidelity sous-pondère les obligations les mieux notées, a fortiori maintenant que la présidentielle française est passée. Parallèlement, dans un contexte marqué par un retour de la croissance, la société de gestion continue de surpondérer le High Yield.