AMERICAN AIRLINES
American Airlines aurait envoyé un courrier à 25 000 employés, soit plus du quart de ses effectifs, pour les prévenir qu'ils présentaient le risque de perdre leur emploi plus tard dans l'année. C'est ce qu'a rapporté mercredi soir la presse américaine. Cette décision vise à réduire les coûts dans un contexte d'effondrement du trafic aérien mondial suite à la crise du Covid-19 et des mesures prises pour l'endiguer.

BANK OF AMERICA
Bank of America vient de faire part de ses résultats du deuxième trimestre 2020. Ainsi, la banque américaine a réalisé un bénéfice net de 3,5 milliards de dollars sur la période, soit 37 cents par action, contre un bénéfice net de 7,3 milliards de dollars, ou 74 cents par action, lors de la même période un an plus tôt. Ces résultats sont notamment plombés par une charge de 4 milliards de dollars pour créances douteuses liées à la pandémie de Covid-19.

JOHNSON & JOHNSON
Johnson & Johnson a relevé ses prévisions annuelles dans le sillage de résultats trimestriels plus robustes que prévu. Le géant américain de la santé débutera des essais de son vaccin du Covid-19 sur les humains le mois prochain. Au deuxième trimestre, le bénéfice net a reculé de 35% à 3,63 milliards de dollars, ou 1,36 dollar par action. Hors éléments exceptionnels, le BPA est ressorti à 1,67 dollar, au-dessus du consensus Refinitiv qui le donnait à 1,49 dollar.

MORGAN STANLEY
Morgan Stanley a publié un bénéfice par action ajusté au deuxième trimestre de son exercice 2020 de 1,96 dollar, au-dessus du consensus FactSet de 1,12 dollar. Les revenus nets de la banque américaine sont, pour leur part, en hausse de 30,9% à 13,414 milliards de dollars. Cette importante progression s'explique par le dynamisme de ses activités de trading et de banque d'investissement.

TWITTER
Twitter a confirmé avoir été victime d'un piratage de grande ampleur. Preuve que la piraterie n'est jamais finie, des voleurs se sont emparés des comptes Twitter de personnalités américaines, dont Bill Gates, Elon Musk ou encore Joe Biden et Barack Obama, ainsi que de grandes entreprises américaines, comme Apple et Uber. Des messages envoyés de ces prestigieuses adresses invitaient les internautes à faire parvenir des bitcoins à des adresses spécifiques, prétendant renvoyer en échange le double des montants transférés.