En hausse

  • Stabilus (+10%) : JP Morgan a relevé sa recommandation de neutre à surpondérer en visant 62 EUR sur le spécialiste des amortisseurs automobiles.
  • National Express (+9%) : les trimestriels ont rassuré les investisseurs, avec un retour du chiffre d'affaires sur les niveaux de 2019. "Le volet voyages essentiels des activités du groupe a bien résisté à la pandémie, mais il est encourageant de voir les voyages discrétionnaires rebondir fortement maintenant", souligne Jefferies.
  • Kesko (+6%) : le finlandais a relevé ses prévisions annuelles. ABG Sundal Collier est passé de vendre à acheter après la publication, en visant 28 EUR.
  • AP Moller-Maersk (+5%) : le géant danois de la logistique a relevé ses objectifs annuels, dans un contexte mondial toujours marqué par les tensions logistiques. Le rival Hapag-Lloyd en profite aussi.
  • Bachem (+5%) : le groupe a conclu un partenariat Eli Lilly autour des oligonucléotides. L'Américain s'est engagé à placer des commandes pour un montant allant jusqu'à 100 MCHF sur sept ans, si certains jalons sont franchis.

En baisse

  • Getinge (-12%) : le marché n'attendait pas d'étincelles des chiffres du 1er trimestre, mais ils ont été encore plus faibles que prévu. La sanction est directe.
  • Nacon (-8%) : le chiffre d'affaires du T1, à 156 M€, est dans le bas de la fourchette des objectifs (150 à 180 M€). La déception sur les accessoires devrait peser sur les résultats.
  • Befesa (-7%) : l'entreprise allemande spécialisée dans le recyclage a déçu le marché avec des résultats trimestriels moins bons que prévu.
  • Thulé (-5%) : les résultats du 1er trimestre ont été solides, mais les prévisions sont un peu décevantes, selon un analyste. Le second trimestre va être pénalisé par les soucis d'approvisionnement.
  • Associated British Foods (-4%) : là aussi, l'année a plutôt bien débuté pour le groupe britannique, mais les pressions inflationnistes conduisent le management à revoir en baisse ses prévisions.
  • HSBC (-3%) : Si le bénéfice net a dépassé les attentes au 1er trimestre, les ratios prudentiels sont jugés un peu faiblards par les analystes. Suffisamment pour qu'ils pensent que cela affectera le volume des rachats d'actions.
  • EQT (-3%) : les actifs sous gestion étaient plus élevés que prévu à la fin du T1, mais les investissements ont tendance à ralentir. Citigroup a peu que cela n'affecte le sentiment des investisseurs.