Il y a les pro et les anti-éoliennes. Les fans de la voiture électrique et ceux qui pensent que son empreinte réelle est nettement sous-évaluée. Les pourfendeurs de plastique et ceux qui lui trouvent plus de qualités que de défauts. Mais quand on parle recyclage et économie circulaire, un large consensus se dégage sur les effets positifs de la démarche. Or l'économie globale n'est qu'à 9% circulaire, explique Berenberg, ce qui signifie que 9% seulement des 90 milliards de tonnes de matériaux primaires (biomasse, métaux, matières fossiles, minéraux…) introduits chaque année dans le circuit économique mondial sont réutilisés. En outre, l'atteinte des objectifs de limitation de la production des gaz à effet de serre passe nécessairement par l'économie circulaire avec une population qui ne cesse de croître.

Berenberg a identifié 14 sociétés qui sont en capacité de favoriser l'économie circulaire en facilitant l'accroissement de la durée de vie des produits, des matières et des actifs. Le bureau d'études a aussi retenu 15 autres sociétés qui peuvent gagner des parts de marché dans un contexte de transition écologique, en proposant des substituts à des produits ou à des matériaux affichant une empreinte environnementale médiocre. Les voici :

Economie du recyclage :

Economie du partage

Economie de l'emballage

Les autres acteurs

Les valeurs préférées de Berenberg sont Befesa (achat, objectif 42 EUR), Veolia (achat, objectif 24 EUR) et Huhtamaki (achat, objectif 50 EUR). 

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