La source a déclaré que le Canada était "une option logique" pour l'usine, qui serait la première gigafactory de VW en dehors de l'Europe.
Cette initiative a été décrite comme une extension du protocole d'accord signé en août entre Volkswagen et le Canada, riche en minéraux, dans lequel ils ont convenu d'intensifier leurs efforts pour décrocher l'accès au lithium, au nickel et au cobalt.
Les constructeurs automobiles européens ont fait pression pour décrocher des participations dans la production de batteries sur le continent, mais l'industrie n'en est encore qu'à ses débuts.
En septembre, Volkswagen a annoncé la création d'une coentreprise de 2,9 milliards de dollars pour la fabrication de pièces de batteries avec la société belge de matériaux Umicore.
À la recherche d'un site en Amérique du Nord, Thomas Schmall, membre du conseil d'administration de Volkswagen pour la technologie, a déclaré : "PowerCo est sur le point de sauter de l'autre côté de l'Atlantique. Les conditions cadres en Amérique du Nord sont très attractives. L'emplacement le plus compétitif gagne la course".
