L'étude, baptisée GNC-501, recrutera 200 patients atteints de syndromes neuropsychiatriques sévères après une infection par le COVID-19 et qui ont été testés positifs pour la protéine pathogène W-ENV dans les centres d'étude de Suisse et de l'Union européenne.
Auparavant, la société française a obtenu un financement de 6,4 millions d'euros (6,7 millions de dollars) pour l'essai clinique de la part de l'Office fédéral suisse de la santé publique.
GeNeuro a légèrement progressé à la clôture de mercredi.