C’est une première qui pourrait bien faire office de précédent. L’Etat pourrait en effet devenir actionnaire indirect d’une société via la restructuration d’un PGE. Selon les Echos, c’est ce qui se profile à l’horizon pour Pierre et Vacances (+6,07% à 6,81 euros). Sur la base de plusieurs sources non identifiées, le quotidien économique explique qu’il serait prévu actuellement que le PGE soit converti en capital à hauteur de 90% pour l'Etat. Ce sont les banques qui détiendraient formellement ces actions, mais dans l'intérêt de l'Etat.

Il pourrait aussi être question de faire appel à un tiers, un fiduciaire qui s'en chargerait, ajoute le journal.