Ramsay a dévoilé que son chiffre d'affaires non audité pour la période de trois mois se terminant le 30 septembre 2022 s'est élevé à 1,02 milliards d'euros, en hausse de 9,8 % par rapport à la même période de l'année précédente. L'Ebitda non audité sur cette période s'est élevé à 112,6 millions d'euros, en baisse de 16,7 % par rapport à la même période de l'année précédente. Le résultat opérationnel courant non audité à la même période s'est élevé à 13,5 millions d'euros, en baisse de 69,0 % par rapport à la même période de l'année précédente.

Ramsay Santé a continué au cours des 3 derniers mois son soutien dans la lutte contre l'épidémie de COVID avec la prise en charge les patients en France et en Suède.
Le chiffre d'affaires du groupe a augmenté de 9,8% soit de 92 millions d'euros pour ce trimestre. A périmètre et taux de change constants, la croissance organique du chiffre d'affaires pour le trimestre se terminant le 30 septembre 2022 est de 4,9%.

Le chiffre d'affaires de la France a augmenté de 5,5 %, soutenu par une augmentation du chiffre d'affaires des achats médicaux refacturables et impacté par l'évolution vers plus de soins réalisés en ambulatoire. Le chiffre d'affaires des pays nordiques a augmenté de 20% soutenu par les acquisitions récentes et leur croissance organique est principalement réalisée par les patients des soins de proximité et des soins spécialisés en Suède et au Danemark.

Le Groupe poursuit avec succès la mise en œuvre de son plan stratégique 2025, affirmant sa place de leader des soins intégrés digi-physiques en Europe. Le Groupe a finalisé l'acquisition de 10 entités en Scandinavie au cours de l'exercice 22, et se concentre sur les bénéfices de leur intégration. Ces acquisitions sont complémentaires aux activités actuelles et élargissent l'éventail des services du groupe ainsi que son empreinte géographique.

Pascal Roché, Directeur Général de Ramsay Santé, déclare : " Bien que les conditions d'exploitation s'améliorent, la rentabilité est en retrait par rapport à la période correspondante de l'année précédente en raison de la baisse des subventions liées au Covid, de l'inflation élevée et des difficultés de pénurie de personnel."