La licence est initialement valable pour six mois et pourrait être automatiquement prolongée sur une base mensuelle. Toutefois, aucun nouveau champ pétrolifère ne peut être exploité, aucune redevance ou taxe ne peut être versée au gouvernement vénézuélien, et aucun paiement en nature ne peut être effectué à la compagnie pétrolière d'État PDVSA.
Selon Commerzbank, les quatre coentreprises de la société américaine au Venezuela produisaient environ 200 000 barils de pétrole par jour avant l'entrée en vigueur des sanctions en 2019, dont la totalité était exportée. Bien que le Canada produise également du pétrole lourd, la capacité des oléoducs n'est pas suffisante pour acheminer le pétrole des champs de sables bitumineux canadiens vers les raffineries de la côte américaine du Golfe du Mexique, a indiqué la banque.