Cette "communication des griefs" fait partie de la procédure d'enquête en cours et ne présume en rien des conclusions de cette enquête, précise General Electric, qui fait part de sa volonté d'apaiser les craintes de Bruxelles.

Un tel document est généralement le prélude à un veto, à moins que l'entreprise incriminée n'apporte les garanties jugées nécessaires ou n'accepte des concessions.

L'exécutif européen a ouvert en février une enquête approfondie sur ce rapprochement de 12,4 milliards d'euros qui entraînera la disparition de l'un des trois grands concurrents du groupe américain sur le marché des turbines à gaz.

(Foo Yun Chee; Patrick Vignal pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Alstom, General Electric Company
Valeurs citées dans l'article : Alstom, General Electric Company, Alstom