Merck a annoncé lundi l'arrêt d'un essai clinique de phase 3 associant son immunothérapie-vedette Keytruda à sa nouvelle molécule vibostolimab dans le traitement du mélanome à haut risque de stade 2 à 4.

Dans un communiqué, le groupe biopharmaceutique américain justifie sa décision par la constatation d'un taux élevé d'abandon du traitement chez les patients ayant reçu les deux médicaments par rapport au groupe de contrôle (Keytruda seul).

Il précise avoir suivi en cela les recommandations formulées par le comité indépendant de suivi des données.

Le vibostolimab, qui n'est pas encore approuvé, est une molécule développée par Merck capable d'activer le système immunitaire via l'exercice de la réponse médiée par les cellules T contre les cellules cancéreuses.

Copyright (c) 2024 CercleFinance.com. Tous droits réservés.