"Le redressement économique de l’Europe ne devrait pas remettre en cause les baisses de taux dès le mois de juin", estime Alexandre Hezez, stratégiste du groupe Richelieu. Ce dernier souligne par ailleurs que la banque centrale du Japon n’envisage pas de changement de politique monétaire. Quant aux autorités chinoises, précise-t-il, celles-ci essaient de rassurer sur leur capacité à mettre fin à la crise immobilière et redonner un peu de confiance à court terme.