● La société dispose de fondamentaux solides. Plus de 70% des entreprises présentent un mix de croissance, rentabilité, endettement et visibilité plus faible.
Points forts
● D'après les estimations de chiffre d'affaires issues du consensus Thomson Reuters, la société fait partie des meilleurs dossiers de croissance.
● Les marges dégagées par la société sont parmi les plus élevées de la cote. L'activité exercée par l'entreprise est particulièrement rentable.
● La situation financière de la société apparaît excellente, ce qui lui confère une importante capacité d'investissement.
● Les révisions de BNA ont été fortement revues à la hausse au cours des 4 derniers mois.
● Les analystes couvrant le dossier recommandent majoritairement l'achat ou la surpondération de l'action.
● L'objectif de cours moyen des analystes suivant la valeur est relativement éloigné et suppose un potentiel d'appréciation important.
● La tendance en données hebdomadaires ressort positive au-dessus de la zone de soutien des 160 CHF.
Points faibles
● L'action évolue à proximité d'une résistance long terme en données hebdomadaires, située vers 182 CHF. En-dessous de ce niveau, le potentiel pourrait s'avérer limité.
● La société est proche d'une zone de résistance majeure en données journalières située vers 185 CHF, dont il faudra s'affranchir pour disposer d'un nouveau potentiel d'appréciation.
● Les estimations des différents analystes qui suivent le dossier ne sont pas toutes en adéquation. La dispersion des estimations supposent soit un manque de visibilité liée à l'activité, soit des opinions divergentes.
● Le ratio "valeur d'entreprise sur chiffre d'affaires" de la société la situe parmi les sociétés les plus chères à l'échelle mondiale.
● La valorisation du groupe en termes de multiples de résultat apparaît relativement élevés. En effet, l'entreprise se paye actuellement 358.07 fois son bénéfice net par action anticipé pour l'exercice en cours.
● La société ne verse pas ou peu de dividendes et présente par conséquent un rendement faible, voire nul.
● Les anticipations de chiffre d'affaires sur les 12 derniers mois ont largement été revues à la baisse. Les analystes prévoient des ventes moins importantes que celles qu'ils attendaient un an plus tôt.