L'association de Jemperli de GSK et d'une chimiothérapie a atteint l'objectif principal d'un essai clinique de phase III dans le cancer de l'endomètre, a annoncé lundi le laboratoire britannique.

Les résultats de l'étude ont montré que cet anticorps anti-PD-1 associé à une chimiothérapie avait amélioré de manière statistiquement significative et cliniquement probante la survie globale des patients atteints d'une forme avancée ou récurrente de la maladie.

Aux Etats-Unis, Jemperli est actuellement indiqué comme monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints d'un cancer de l'endomètre récurrent ou avancé présentant des tumeurs solides déficientes en réparation (TsdR) ou une instabilité microsatellitaire haute (IMS-H) ayant progressé avec un traitement antérieur à l'aide d'un régime contenant du platine.

A la Bourse de Londres, le titre GSK avançait de 1,3% suite à cette annonce, signant l'une des plus fortes baisses de l'indice FTSE 100, qui progressait de 0,7% au même moment.

GSK a par ailleurs renouvelé ce lundi son accord de licence avec l'américain 23andMe, aux termes duquel il continuera d'utiliser la base de données du spécialiste des tests génétiques pour la mise au point de nouvelles thérapies.

Il est prévu que 23andMe reçoive un paiement initial de 20 millions de dollars dans le cadre de la prolongation de cet accord de collaboration non-exclusif.

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