En juillet de l'année dernière, l'Ouganda a
résilié
les négociations avec un consortium comprenant une unité de la société américaine Baker Hughes parce que cette dernière n'avait pas réussi à mobiliser le financement à temps.
L'Ouganda compte sur la raffinerie de pétrole de 60 000 barils par jour pour son industrie naissante des hydrocarbures.
L'Ouganda espère commencer à pomper commercialement du pétrole brut en 2025 à partir des gisements situés dans le bassin du rift Albertine, à l'ouest du pays, près de la frontière avec la République démocratique du Congo.