L'Ouganda a choisi la société émiratie Alpha MBM Investments pour l'aider à développer une raffinerie de 4 milliards de dollars qui l'aiderait à traiter une partie de son pétrole brut, a déclaré mardi la ministre de l'énergie et du développement minéral, Ruth Nankabirwa.

En juillet de l'année dernière, l'Ouganda a

résilié

les négociations avec un consortium comprenant une unité de la société américaine Baker Hughes parce que cette dernière n'avait pas réussi à mobiliser le financement à temps.

L'Ouganda compte sur la raffinerie de pétrole de 60 000 barils par jour pour son industrie naissante des hydrocarbures.

L'Ouganda espère commencer à pomper commercialement du pétrole brut en 2025 à partir des gisements situés dans le bassin du rift Albertine, à l'ouest du pays, près de la frontière avec la République démocratique du Congo.