Selon certains spécialistes, General Motors attendrait les élections législatives du 27 septembre en Allemagne en espérant un échec d'Angela Merkel. La chancelière allemande devrait alors retirer son soutien à l'offre de reprise de Magna sur Opel et le constructeur américain pourrait voir l'investisseur RHJ s'imposer. "L'électeur intelligent aura maintenant compris que l'Allemagne ne gagnera pas et que GM est juste en train de prendre en considération le 27 septembre", a estimé Peter Lösche, professeur allemand de sciences politiques cité par Reuters.