GeNeuro grimpe de plus de 8% mercredi à la Bourse de Paris suite à la publication dans un journal scientifique de référence d'une étude confirmant le rôle clé des rétrovirus endogènes humains dans la maladie de Charcot.

Cet article, diffusé dans la revue 'Annals of Neurology', décrit les effets neurotoxiques de la protéine HERV-K ENV, une toxine endogène détectée dans le liquide céphalo-rachidien des malades, dans cette maladie désormais dénommée sclérose latérale amyotrophique (SLA) sporadique.

La publication met surtout en avant l'action du nouvel anticorps monoclonal de GeNeuro pour neutraliser cette toxicité.

Ces résultats sont le fruit d'une collaboration entre la société biopharmaceutique et le National Institute of Neurological Disorders and Stroke (NINDS), qui fait partie des National Institutes of Health (NIH) des Etats-Unis.

Basée à Genève en Suisse, avec un centre de R&D à Lyon, GeNeuro détient les droits sur 17 familles de brevets qui protègent sa technologie liée aux rétrovirus endogènes humains (HERVs), qui représentent 8% de l'ADN humain.

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