Il reste un certain nombre d'événements ou facteurs susceptibles de venir affecter les marchés d'ici la fin de l'année, comme l'issue des élections américaines et l'incertitude persistante autour d'une possible résurgence de la pandémie de COVID-19, rappelle SPDR. Cela contribue encore à alimenter l'incertitude des investisseurs sur la volatilité potentielle des actions compte tenu des valorisations actuelles de la classe d'actifs.

Selon la société de gestion, les investisseurs au profil "prudent" pourraient donc commencer à privilégier une approche Low Vol, d'autant plus que des stratégies telles que la Low Volatility sur les marchés européens et américains ont retrouvé le chemin de leur tendance historique en termes de performances relatives.

Les investisseurs à la recherche d'une approche diversifiée pour rester longs malgré les niveaux de valorisation actuelle de la classe d'actifs peuvent, quant à eux, envisager une allocation Low Volatility pour se prémunir des impacts négatifs de l'incertitude persistante, estime SPDR.