En hausse 

  • Christian Hansen (+21,5%) : Le groupe danois de biotechnologie Novozymes a déclaré lundi avoir signé un accord de fusion avec la société de biosciences Christian Hansen pour créer une nouvelle société de biosolutions.
  • London Stock Exchange PLC (+4%) : Microsoft entame un partenariat stratégique sur dix ans avec LSEG  (London Stock Exchange Group). Ce partenariat se traduit par un rachat d’environ 4% des actions de LSEG. En contrepartie, le groupe s’engage à dépenser 2,3 milliards de livres sterling en achat de services informatiques.
  • John Wood Group PLC (+3,2%) : La banque d’investissement américaine Jefferies est passée de “Neutre” à “Acheter” avec un objectif de 190 Gbp.
  • Airbus (+0,5%) : La compagnie Air India va passer une commande historique d’avions aux deux géants de l’aéronautique Airbus et Boeing, selon l’Agence Reuters. 

En baisse

  • Accor (-4,1%) : Le titre chute après que la banque d’investissement américaine Jefferies a dégradé la valeur en la passant de “Conserver” à “Sous-performance”. L’analyste estime que la croissance actuelle est “destructrice de valeur” et attend le retour d’une croissance organique.
  • Melia Hotels International (-5%) : Jefferies a passé la valeur de “Acheter” à “Conserver”. La banque d’investissement a abaissé ses recommandations pour tout le secteur de l’hôtellerie.
  • Bpost (-12%) : Le groupe a annoncé le départ de son CEO Dirk Tirez, dans le sillage d’une affaire qui pourrait coûter cher à l’entreprise. Bpost risque une amende de 400 millions d’euros, pour avoir autorisé la distribution de journaux en Belgique, soit 10% de son chiffre d’affaires en 2022. Si Bpost doit bel et bien payer cette amende, il y a un gros risque qu’aucun dividende ne soit versé.
  • Novozymes (-14%) : A l’opposé de Christian Hansen, le cours de l’entreprise chute après cette annonce de fusion. Les actionnaires estiment que la valorisation de Christian Hansen, dans le cadre de ce rachat, a été très généreuse. De plus, une partie de ce rachat s’effectue avec un échange de titres, ce qui laisse sous-entendre une dilution du capital.